Julian A. Grimm || Fiche de Présentation FINIE à 100%

▐▐ Carte d'identité▐▐

▐▐ Qui êtes-vous ?▐▐

Vous souhaitez que je me caractérise ?
Cela ne va pas être simple, je vous le dis...
Paradoxal. Oui, c'est le mot qui pourai me définir le mieux. Entre mes sautes d'humeur perpétuelles et constantes ainsi que mes folles envies d'évasion, je pense que le mot paradoxal me va bien. Il pourai même être mon deuxième prénom. Si seulement il n'y aurai pas déjà Andrews à cette place.
Oui, je suis plutôt du genre évasif. Parfois, j'essaye même de m'enfuir à moi même mais, je n'ai jamais réussit... Je peux être aussi sage et discret qu'un agneau mais, d'une seconde à l'autre, devenir aussi extraverti que Lady Gaga. (Pause) Non, je ne suis pas gay. Ce n'était qu'un exemple. (Autre pause) Bon, je peux être aussi fou que Jim Carrey, c'est mieux ?
Toutefois, je suis quelqu'un d'honnête et à qui on peut faire confiance. Je suis plutôt franc, peut-être même un peu trop. Je ne peux m'empecher de dire ce que je pense mais, à d'autres moments, je sais lorsqu'il faut que je me "la ferme" comme on dit. Paradoxalement, je peux aussi être du genre "je m'en foustiste". On peux m'insulter, peut m'importe. Je ne suis pas du genre à m'emporter pour un rien...

Comment suis-je physiquement? Pourquoi? Vous ne voyez pas assez bien de là où vous êtes?
Non ? Bon, d’accord… Je suis plutôt grand mais pas trop quand même. J’ai un œil plus grand que l’autre mais personne s’en ai jamais rendu compte. Vous voulez savoir pourquoi ? Parce que ce n’est pas vrai…(rire sadique) Non, vous n'avez pas besoin de vérifier. Je vous dit que je faisais de l'humour !
A vrai dire, je ne suis pas très doué pour me décrire. Je n’ai jamais pris la peine de me regarder dans une glace puisqu’elle se casse avant que j’ai eu le temps de trop m’en approcher. C’est bête non ? J’ai cru que c’était problème de série, comme avec les portables ou les electroménagers, bien que je n’achète pas tous mes miroirs au même endroit. Les vendeurs me regardent toujours d’un air perplexe lorsque je leurs raconte que les miroirs m’aiment pas. J’ai alors essayé les reflets dans les vitres des magasins mais, là aussi, je ne vois rien. Juste des gens qui me font des signes et des grimaces bizarres de l’autre côté de la vitre. Et après on ose dire que c’est moi qui est fou… (siffle en l’air)
Ahh si ! ! Je peux vous parler de mes pieds ! J’ai de très jolis pieds. Un peu fourchus, c’est vrai mais, très jolis quand même. C’est pourquoi je ne mets que des sandalettes à la maison. Mais je suppose que ce n'est pas ce que vous vouliez savoir, hein?

▐▐ Et votre passé ? ▐▐

Une Belle Nuit & Un Désastreux Orage

Trois hurlements se font entendre au loin. Un cri douloureux, un cri de joie et, un cri tout court.
Une femme poussait de toutes ces forces malgré la douleur aiguë qui lui lançait fortement. « Poussez. Poussez » entendait-elle mais « Va te faire voir. » elle était incapable de dire à ce moment là à la sage femme. Après tout, elle ne faisait que son boulot. Ses états d’âmes de femme enceinte l’avaient déjà assez rendue hystérique et insupportable pour envoyer balader la seule personne qui pouvait l’aider à ce moment précis. Son seul salut : pouvoir crier à tue-tête.
En cette nuit étoilée, un homme devenait l’un des plus heureux du monde. C’est ce qu’ils disent tous en constatant que leur enfant est un fils. Se qu’ils souhaitaient secrètement.
Il n’en avait pas parlé à sa femme mais, dans le fond du porte bagages de leur voiture, se cachait un petit paquet comportant un tout petit ballon de foot. « Il sera proportionnel à sa taille » avait-il dit au vendeur de magasins de jouets tout béat. Voilà à quoi il pensa en voyant le petit bout de chair pendant entre les jambes de son fils. « Un fils. » cria-t-il à sa femme dégoulinante de sueur.
Non loin de là, un homme rentrai du travail. Il ne l’avait pas remarqué mais, derrière lui, trois voyous le suivaient de très près. Le livre, à la couverture noire et veloutée, que tenais Mr Honnête entre les mains tombât à terre lorsque les trois jeunes lui tombèrent dessus sans un bruit. Le seul son qui retenti fut un cri de surprise et d’agonie.

Il était minuit. Julian avait 13 ans. Sa mère lui avait donné la permission de se rendre chez un ami pour une fête d’anniversaire qui n’en était pas une en réalité.
Les deux camarades de classe avaient pris pour habitude d’espionner les filles dans la douche à l’école mais, cette fois, Max avait eu une meilleure idée. Max était son ami. Son meilleur ami. Il avait décidé de garder la surprise ors, ce n’est qu’à son arrivé que Julian put comprendre ce qu’il avait encore trafiqué. « Ferme la lumière, ta bouche par la même occasion, et approche sans faire de bruit. » lui avait-il dit lorsque Julian rentra dans sa chambre. Max avait prévu le coup. Il avait demandé à son père d’aller nicher chez une de ses maîtresses pour une nuit.
En s’avançant sur la pointe des pieds, Julian demanda quel était le plan. Le rideau de la fenêtre se poussa et la jolie brune dont Julian était amoureux depuis la maternelle, les seins à peine naissants, dansait dans sa chambre avec deux autres filles en chemise de nuit. « Ok, j’ai compris… » dit-il avant de s’asseoir en plongeant sa main dans le pop-corn qui lui tendait son ami. Il pleuvait mais, peu leur importait...
Ce qu’ils n’avaient pas remarqué ce soir là, c’était que les parents de le demoiselle les avait aperçues par la fenêtre de la cuisine. Il avait donc décidé d’aller demander à sa fille de fermer les stores avant d’appeler les parents de Julian. Ce fut cette nuit là, à minuit et quarante trois minutes que les parents à Julian moururent. En allant le chercher chez Max. Un adolescent de 17 ans avait pris le volant après une soirée trop arrosé et, avait passé un feu rouge. Un orage éclatat au même instant.


La Longue Vue & Le Vieux Livre

Julian ne revu plus jamais Max ni sa belle petite voisine. Il déménagea chez sa grand mère maternelle. Plutôt compréhensive en son genre. Il passa plusieurs mois sans sortir de sa chambre. Il avait du mal à se pardonner le fait d’avoir menti à sa mère. De ne jamais avoir dit à son père qu’il détestait le foot et tout autre type de sport. « Mon souffre au cœur m’empêche de jouer Papa. » voilà son excuse préférée.
Au bout de trois mois, sa grand mère n’était pas désespérée mais, inquiète à son sujet. Elle se demanda ce que pourrai lui changer les idées. Elle commença par lui apporter un livre chaque semaine. S’il ne sortait pas de son trou, au moins, puisse-t-il le faire à l’aide les livres. S’évader à travers eux. C’est ainsi qu’il apprit à aimer les mots…
Un certain 27 avril, Julian poussa timidement la porte de sa chambre. Il regarda à gauche à droite avant d’entamer le pas vers les escaliers menant au salon. Mère grand était dans sa chambre. Elle dormait. En passant devant sa porte entre ouverte, Julian ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil à celle qui l’avait accueillit sans poser de questions. Elle était étendue sur son lit, au dessus des draps. Derrière le lit, devant la fenêtre, trônait une longue vue.
Au petit matin, Julian était déjà dans la cuisine lorsque sa grand mère y descendit. Ils faisait des tartines à la confiture et du café comme sa mère lui avait appris. Le premier mot sortit de sa bouche ne fut pas un « merci » mais un « pourquoi ? ». Pourquoi avait-elle donc une longue vue dans sa chambre ? Il ne finirai cependant pas sa phrase et elle ne lui répondrai jamais. Pour information : elle ne regardait pas de jeunes filles, juste les étoiles où reposait mon mari et, aujourd’hui, sa fille décédée.

Mr Honnête avait eu 6 points de couture à l’arcade et deux côtes cassées. Sans parler des nombreux bleus qui avaient remplacé la couleur pale de son corps. Ce qu’il regrettait le plus n’était pas de leur avait fichu la correction de leur vie à ces petits. C’était le livre qu’il avait perdu pendant la bataille. Il ne faisait pas parti de la bibliothèque où il travaillait mais de sa bibliothèque personnelle. Dommage…
Anne Marguerite, la grand mère de Julian avait eu la chance de passer par là ce soir là. La chance ? Me demandez vous. Oui, elle ne s’ai jamais douté de ce qui s’était passé une heure et demi avant. Elle eu juste la chance de trouver un grimoire vieux de quelques centaines d’années. Elle le garda précieusement comme un trésor secret. Secret mais pas introuvable depuis qu’un garçonnet habitait chez elle.
Julian ne savait pas quoi faire cette après midi là. Ils n’avait plus un seul ami depuis qu’il avait emménagé, il ne faisait pas assez nuit pour voir les étoiles avec la longue vue de mamy et, il n’avait pas vraiment envie de faire ces devoirs. En fouinant dans la bibliothèque de sa grand mère, elle trouva un vieux livre derrière un tas de vieilleries. Le livre de Mr Honnête.
Le même jour, dans l’après midi, ce même vieil homme sonna à la porte. Bien sur, Julian ne savait pas de qui il s’agissait mais, Anne Marguerite, elle, le savait. Sur la dernière page du grimoire, il y avait une adresse, il y a des années, elle s’y était rendue par curiosité et été tombé nez à nez avec un charmant monsieur aux yeux au beurre noir. Ils se lièrent d’amitié mais, elle ne lui parla jamais du livre. « Tu vas aider Mr Honnête à la bibliothèque Juju. ». Il ne la contredit pas. Il aimait les mots. Ils aimait les livres…


Une Marguerite & Une Envie Folle

Un homme de noir vêtu est venu chercher Julian ce jour là. Il n’avait plus l’habitude que l’on vienne le chercher à l’école. Surtout quand c’était un inconnu qui lui demandait de le suivre.
Bêtement, je direz vous, il le suivit jusqu’à chez sa grand mère. Elle était souffrante depuis quelques mois. C’était sûrement la raison de la présence d’un baby-sitter, se dit-il en rentrant chez lui. « Maggy ? » Elle lui avait permis de l’appeler ainsi. « Maggy ? » Cela lui rappelait le bon vieux temps. « Mamy ? » Aucune réponse. L’homme en noir était resté sur le seuil de la porte d'entrée. Julian compris.
L’enterrement se passa comme prévu. Un ciel bleu et sans nuages. Un petit air frais. Beaucoup de larmes et, très peu de mots. Vers la fin, chacun allait de son petit discours, son moindre souvenir. Julian préféra ne rien dire. Ce jour là, il se passerai des mots. Ces larmes parleraient à leur place. C’était ainsi qu’il voyait les choses. Il refusait de se mettrai au même niveau que tout les autres qui, pour la plus part, était plus présents pour se faire voir des autres plutôt que pour rendre hommage à une veille dame qui lui était chère.
Mr Honnête, qui été dorénavant responsable du jeune homme, ne le quitta pas des yeux. Même lorsque Julian, seul devant le prénom marbré de sa grand mère déposa une marguerite cueillit à la volée. Le seul et dernier mot qu’il lui offrit ce jour là ne fut pas un « Pourquoi ? » mais un « Merci. »…

Ce furent les mots « No Man’s Land » qui marquèrent le plus Julian ces derniers temps.
Les livres de la petite bibliothèque lui permettaient d’oublier son chagrin et son manque d’activité en dehors des cours mais, ces trois mots là lui lancèrent une claque en pleine figure. Il fallait qu’il y participe. Même s’il fallait laisser la seule personne qui tienne à lu pour cela. Mr Honnête.
« Hors de question ! » fut la réponse que lui donna ce dernier lorsqu’il lui fit par de son envie de participer. Un « Non ! » vint accentuer la négation du vieil homme mais, Julian n’écoutait plus. Il était parti faire ses valises sans même savoir s’il était pris lors du casting. « Je le serai ! » se disait-il. Et il le serai.
La veille, avant qu’il prenne la route vers une île déserte, Mr Honnête était grincheux et silencieux de temps à autres. En d’autres termes, il était stressé. Il avait peur de ne voir revenir le jeune garçon qu’il considérait aujourd’hui comme son propre petit fils. Il avait peur de ne pouvoir tenir sa promesse. « Veiller sur le petit ». Quant à Julian, il rengeait une dernière chose dans sa valise. Un vieux livre. Un vieux grimoire.
Julian lui promit de revenir très vite. Valise à la main et un large sourire au lèvres, il embrassa le vieil homme et se mit à courir en direction de ce qui le mènerai à vraie aventure. Mr Honnête, lui, essaya de cacher une larme fugitive…

▐▐ Questionnaire. ▐▐

Pourquoi, participer à No Man's Land ?
Et pourquoi pas? J'aime les aventures, avoir mal à la poitrine en sentant que mon coeur pourrai s'enfuir à tout moment, j'aime découvrir de nouveaux paysages et, si je peux le faire en dehors qu'en ayant mon nez dans un bouquin, alors là, c'est le rêve... Je dois avouer que c'est la première fois que je part aussi loin de mon petit confort personnel mais bon, je pense que le prix en vaut la chadelle après tout.
Jusqu'où êtes-vous prêt à aller pour gagner le jeu ?
Je ne suis pas prêt à tout pour gagner les millions de dollards si c'est ce que vous voulez savoir. Ce qui m'interresse avant tout c'est le découvrir les mystères qui se cachent derrière les rumeurs. Si je peux toucher l'argent en plus, ce ne serai que la cerise sur le gateau. Je ne suis pas là avant tout pour l'argent (regarde autour de lui) comme certains...
Êtes-vous certain de gagner ?
Serieusement? Non. Mais je ferai mon possible pour en avoir la vie sauve, ça c'est certain !

Qu'est-ce que vous craignez le plus, au sujet de la vie sur l'île ?
Comme je vous l'ai déjà dit, je ne suis jamais parti dans une îlé paradisiaque ou pas d'ailleurs. De plus, je n'ai jamais eu le sens de l'orientation en dehors de la petite bibliothéque où je travail partiellement. Ma plus grande peur est donc de me perdre parmi les labyrinthes d'arbres qui y habitent déjà. Certes cela me donerai une excuse pour explorer les lieux mais bon, c'est toujours bon de connaitre son chemin si jamais on se retrouve en mauvaise posture, n'est-ce pas? (sourire jaune)
Croyez-vous aux rumeurs, concernant les êtres non-humains, qui vivraient sur l'île ?
Bien sur que j'y crois ! A votre avis, qu'est-ce qui m'a poussé à m'inscrire à ce jeu ?

Avez-vous des problèmes de santé,particuliers ?
De gros gros problèmes, non. Mais, j'ai un souffre au coeur qui m'empeche de courir trop vite et très longtemps. (regard amusé) Je vous vois déjà venir... "Et si jamais tu devais courir?" Et ben, je monterai sur le dos de quelqu'un (rires). Ce n'est pas cela qui va m'empecher de participer à ce jeu.
Avez-vous une famille qui va vous attendre à l'éxtérieur ?
A part Mr Honnête qui compte bien voir revenir son seul employé, non. J'ai perdu mes parents étant jeune et ma grand mère est décédée il y a quatre ans. Pour le reste de la famille, je ne leur parle pas suffisement pour qu'il y ai quelqu'un qui m'attende à la fin du jeu. (reflechit un moment) Quoi que, si jamais je gagne, ils me mangeront tous dans la main, je suis sur...

▐▐ Derrière l'écran▐▐

║Si personnage inventé, exemple de rp ; Il y avait déjà des exemples de rp sur No Mans Land mais j'ajoute celui ci au cas où ^^"

Spoiler:

Héhé re-merci =)
Et oui, j'aime varier les plaisirs avec les personnages

J'essaye de finir la fiche dans l'après midi =)

(Re)Bienvenue ^^

(Re) Merci Ever

Bon je fini mon histoire et je pense avoir fini tout court xD

Tu l'ajouteras à ton titre, quand tu auras terminé ta fiche

Il n'y a pas de soucis =)
Je fini seulement la deuxième partie de l'histoire là ^^"
Donc j'ai encore un peu de temps devant moi (quelques minutes voir une heure)

Ayéééé, j'ai fini

Désolé pour le double post mais je tenais vraiment à le dire

Merci !!
Je vais de ce pas faire les autres fiches
A moins que j'oubli autre chose entre temps

de ce que j'ai lu, le personnage a l'air super intéressant *_*
re bienvenue et re bon jeu en retard

Anastasia: Non, je me demandais si j'avais pas oublié de remplir quelque chose ^^"
Merci pour le badge

Lolita: Merci beaucoup

Re-bienvenue